Les groupes 2023


Dirty Caps'


Dirty Caps’, c’est l’histoire de trois hommes qui ont mis tout leur amour et tout leur savoir-faire en commun pour nous offrir le meilleur de leurs terroirs, de la Bigorre au Quercy en passant par les Landes. Dirty Caps’, c’est d’abord une aventure humaine au service d’une passion commune : la musique, mais c’est aussi l’expression d’un territoire aux mille et un paysages. Dirty Caps’, c’est un esprit de liberté qui n’a de cesse de virevolter tel un danseur de bourrée ou de branle. Dirty Caps’, c’est un bal qui reflète une tradition vivante, sans cesse enrichie par l’innovation au service de la qualité et de la typicité du son.

Lien vers le site du groupe : https://mickael-vidal.com/dirtycaps/


Mbraia


Les guitares s’étirent, vrombissent, le cajón respire et palpite.

Les voix éclatent de ces mots anciens nécessaires aujourd’hui.

Alors, les corps glissent et soupirent, les souliers crissent et transpirent. La fièvre s’empare du parquet qui rougit, fume de désir.

Paulin Courtial (guitares, voix) et Arnaud Cance (percussions, voix) puisent dans la matière du chant populaire Occitan une énergie qui déclenche les rouages de la machine à danser. Leurs arrangements, entre force brutale et infinie douceur, rendent hommage aux textes de ces poètes inconnus qui ont marqué la mémoire collective.

Chaussez-vous solidement et laissez-vous happer par la transe. Mbraia balance ton bal.

Lien vers le site du groupe : https://www.sirventes.com/performer/mbraia/


Herriwen


Fondé au cœur de la Bretagne, le groupe Herriwenn réunit quatre musiciens aux talents et expériences variées.

Le groupe Herriwenn mixe des sonorités de toutes les époques, entre la harpe celtique historique, le chant traditionnel, la cornemuse et l’électro qui ajoute une vibe moderne à cet ensemble énergique !

Lien vers le site du groupe : https://herriwenn.bzh


Ricard/Bennes Duo


Lui et sa guitare rock, son tambour au pied, elle et son diato néo trad. Cocktail étonnant toujours au service de la danse. Faut k'ça groove! A découvrir...

Clotilde Ricard : Accordéon diatonique, stomp box.

https://www.facebook.com/clotildericardofficial/

Eric Bennes : Guitare, harmonica, banjo, pédale boum.

www.ericbennes.com


Les gaïteros de Graüs


Boudegues, tambourins à cordes et flûtes à trois trous, ces 7 musiciens nous viennent d’Espagne, pas loin de Luchon à vol d’oiseau. Ils viennent de Graüs, juste de l’autre côté de la montagne et sont fédérés par Sergi Llena. Un grand nom des instruments à vent traditionnels ou pas (boudegues, flûtes, cornemuses, trompette…).


Les Aïreteres


Airetères (héritières en gascon luchonnais). Ce sont 6 voix de femmes issues du Comminges et du Luchonnais.


Bagad Bro Tolosa


Bombardes cornemuses et percussions dans la rue, de la communauté bretonne de Toulouse. Avec nous depuis le début, on les attend avec impatience.


La famille Emportes


Au violoncelle, la fille : Zélie, au violon, le fils : Pierre-Émile, à la flûte, la fille : Canelle, à la guitare, mais pas que, le père : Patrice, et une surprise du chef, à la contrebasse, la maman : Annabelle. Famille ! Pur cru local. Première scène pour ce quintet d’avenir tombé depuis plus de dix ans dans la marmite du conservatoire de Saint-Gaudens.


Clotilde Trio à quatre


Depuis presque 10 ans, ils jouent par-ci par-là dans le luchonnais et ailleurs et ont construit une complicité musicale qui vous fera bouléguer à coup sûr, sur des cercles circassiens, des rondeaux maison, des scottichs et tutti quanti. Cette année Eric Bennes les accompagnera à la basse électrique !

Clotilde Ricard: accordéon diatonique, kick

Pierre-Emile Emportes: violon

Patrice Emportes: guitare

Eric Bennes : Basse électrique


Toti Tres


Ces trois jeunes musiciens vous entraîneront dans la danse sur des chansons et musiques rythmées au son de leurs instruments traditionnels de Gascogne : tambourin à cordes, flûte, accordéon diatonique, cornemuses... Avec un répertoire varié entre compositions originales et chansons traditionnelles en occitan gascon, Toti Tres vous propose autant un bal à écouter qu’un concert à danser.


Lukaz


Venir s’asseoir sur une chaise, sans artifices, pour raconter des histoires devant un public peut paraître désuet, d’un autre temps, et pourtant, les spectateurs sont toujours là, nombreux. "Nous vivons dans un monde incroyable, avec des écrans, de l’opéra, des films… Et pourtant il y a encore et toujours des gens à venir écouter quelqu’un conter. Peut-être qu’il y a dans ces histoires quelque chose dont on a besoin pour continuer à vivre ? Dans les cours que j’ai donnés à l’université de Rennes en Sciences de l’Éducation, j’ai étudié des auteurs comme Pierre Laforgue par exemple, qui ont expérimenté le conte en milieu hospitalier, avec des personnes handicapées, avec des adolescents en difficulté… afin de les soigner plus efficacement. Les contes parlent à l’âme, l’atteignent directement. Chaque  personne du public revient à la maison avec ces histoires qui continuent à vivre dans leur esprit et qu’ils comprennent petit à petit. Les contes sont des clés qui nous aident à mieux comprendre le monde."


Les frères Herrou


Les Frères Herrou jouent depuis l’âge de six ans de la harpe celtique traditionnelle, à cordes de bronze. Ils ont appris la harpe auprès de leur mère harpiste Violaine Mayor, et jouent sur des répliques de harpes historiques fabriquées par leur père luthier et musicien Joël Herrou, qui leur a également transmis son art.

Passionnés par cet héritage hors du commun, Jean et Mikaël sont allés à la rencontre des anciens. Ils ont reçu l’enseignement de chanteurs de tradition comme Marcel Guillou et Louis Lallour, ainsi que du sonneur écossais Fred Morrison. Avec virtuosité et énergie, par leur fraîcheur juvénile, à la harpe et au chant, ils apportent une nouvelle couleur au répertoire traditionnel qu’ils enrichissent de leurs propres textes.

Jean et Mikaël ont sorti en 2016 leur premier album en duo : « Beilhadeg er Releg », « Veillée au Releg ». En 2018, ils remportent le premier prix duo au concours de harpe de Amzer Nevez, à Ploemeur.